Dans la nature entre filles

Qu'il fait bon ce soir, la nuit est tombée et la lune presque pleine éclaire la végétation de cette agréable provence. Nous en avons assez de rester cloîtrées dans notre petite villa et décidons de nous balader vers la plage qui heureusement est généralement déserte faute d'accès direct connu des touristes. Étant une habituée du coin, je connais assez bien les trésors cachés du coin et les chemins qui y mènent. Main dans la main, nous empruntons un petit chemin qui serpente entre les différentes propriétés pour aboutir à une petite barre rocheuse qui cache une crique de sable fin connue seule des habitants. Nous escaladons sans peine les quelques rochers qui nous séparent de ce petit paradis. C'est magnifique ; la mer d'huile reflète la lune en un long trait d'argent et les lumières de la cote à l'opposé de nous ressemblent à des étoiles. Nous déambulons lentement le long de la plage près de l'eau, là où le sable est plus dur donc plus pratique à arpenter.

Nous nous régalons de ce moment privilégié en flânant très légèrement vêtues ne portant que caleçon et T-shirt, généralement notre tenue pour dormir. Je tiens Catherine par la taille, la main sous les tissus car j'adore le contact de sa peau. Rapidement ma main glisse sur sa hanche et continue à descendre sous l'élastique de son caleçon. Pour la taquiner, je la laisse suivre son chemin jusque sur ses fesses qui bougent au rythme de sa marche. Je trouve cette sensation assez excitante et décide de stopper net pour l'étreindre dans un baiser tendre mais passionné. Nous reprenons notre balade tout en s'arrêtant régulièrement pour nous embrasser. Au fur et à mesure de notre promenade, le désir monte en nous. J'ai envie de Catherine, malheureusement on peut nous voir, alors je la tire par la main et l'invite à se diriger vers un mur de pierres que surplombe une propriété.

Debout, elle se colle contre le mur et je l'embrasse fougueusement tout en lui prenant les mains. Je la tiens fermement en remontant ses bras écartés au dessus de sa tête et maintient ses avant bras plaqué contre les pierres. Je me détache de ses lèvres et l'embrasse dans le cou, chose qui la fait toujours craquer tout en plaquant mon corps contre le sien. Pour l'exciter plus, je frotte de gauche à droite mes seins contre les siens séparés de la mince épaisseur de tissus que constituent nos deux T-shirts. Elle adore que je la tienne fermement, je commence à bien la connaître et j'avoue en a b u s e r. Un petit gémissement me fait comprendre que nous pouvons aller plus loin, alors je lâche ses mains jusqu'à présent prisonnières des miennes, ce qui me permet de la prendre par la taille et remonter lentement le long de son corps chaud et excité. Ses bras s'enroulent autour de mon cou et sa bouche rejoint mes lèvres entrouvertes et sa délicieuse langue cherche la mienne.

Pendant cet agréable baiser, mes mains se glissent sous son T-shirt, le remontant très haut ce qui lui fait lever les bras pour que je puisse l'ôter. Elle fait de même avec le mien et nos seins peuvent désormais rentrer en contact. Nos tétons érigés par le désir pointent comme pour réclamer des baisers, baisers que j'accorde aux siens en me baissant légèrement. J'adore ses tétons, ma langue tourne autour, je les suce, les mordillent ce qui lui arrache un second gémissement. « J'ai envie de toi »; ces paroles sortent involontairement de ma bouche et pour toute réponse j'entends un « Mumm ». C'est elle qui la première a pris la décision de retirer mon short.

Elle me colle nue contre son corps pulpeux qui m'attire tant en me malaxant les fesses et en faisant remonter ses mains le long de mon dos. Lentement je laisse glisser mon corps vers le bas en embrassement tout ce que je trouve sur mon passage ; entre les seins, sous ses seins ; son ventre, son nombril et son bas ventre. Mes mains empoignent son caleçon qui maintenant descend en découvrant lentement le reste de son corps que je m'empresse d'embrasser. Mes mains glissent lentement le long des ses jambes lisses pour enfin retirer ce dernier rempart de pudeur. Je me relève et me replace contre elle en levant lentement un genou entre ses jambes qui se dirige vers son sexe. Ce mouvement lui fait écarter les jambes pour que sa chatte puisse entrer en contact avec ma peau. Tout en l'embrassant dans le cou, mon genou va et vient entre ses cuisses et lui font imprimer un petit déhanchement lascif.

Pendant cette opération ses mains caressent sur mes fesses et arrivent à atteindre mon sexe entrouvert par le désir et des doigts glissent entre mes lèvres lubrifiées. Rapidement mon genoux fait place à ma main qui aussi explore son intimité si attirante. J'adore son sexe parfaitement lisse et joufflu. Je n'ai qu'une envie qui est de me mettre à genoux pour y insérer ma langue et me délecter de son merveilleux nectar ; chose que je ne tarde pas à faire. Me voilà à genoux, elle dans une position indécente, penchée en arrière les jambes écartées pour faciliter l'exploration de ma langue. Position rapidement inconfortable pour Catherine qui se redresse et me demande de m'asseoir dos au mur. Je m'exécute tandis qu'elle s'approche de moi, appuie ses mains contre le mur et se penche en écartant les jambes dans une position encore plus indécente.

La tête face à son sexe, je peux maintenant la lécher plus facilement tandis me mes doigts titillent son petit mais sensible clitoris. Je la devine dans la pénombre penchée en avant les jambes écartées, les siens pendants et oscillant au rythme de ses coups de hanches. Cette position m'excite beaucoup et me donne l'envie de la pénétrer par derrière avec un de ces godemichés que l'on peut porter à l'aide d'une ceinture. Comme je me caressais, l'idée de porter ce type de gadget provoqua un pic d'excitation irréversible qui me fit jouir et tira un gémissement B e s t i a l de ma gorge. Ce gémissement provoqua l'orgasme de Catherine qui explosa sur mon visage qui se retrouva trempé tant elle frotta son sexe dessus en jouissant. Nous nous écroulâmes dans le sable et sommes restées immobiles un certain moment pour recouvrer nos esprits.

Je suis si heureuses lorsque nous jouissons en même temps; chose qui arrive de plus en plus souvent. Nous avons repris le même chemin que pour arriver jusqu'ici la main dans la main mais cette fois pressées de retrouver notre villa pour débarrasser nos corps de tout ce sable.

Auteur : notre-histoire-erotike